Les travaux de second œuvre mal exécutés rendant impropres à leur destination les locaux, engagent la responsabilité de l’entreprise qui les a réalisés, mais également les maîtres d’œuvre qui n’ont pas prescrit les spécifications idoines pour éviter les désordres

Publié en décembre 2008 | FJH n°098 , p.517

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